Aube en lisière | Libre

Le soleil n'était pas encore levé sur les terres Typhons qu'une silhouette de neige les traversait à foulées silencieuses. Le ciel était gris pâle, rosé à l'Est et encore teinté d'une chappe sombre à l'Ouest. La nature était silencieuse, les oiseaux n'ayant pas encore commencé à chanter. Ou peut-être était-ce car cette pluie d'étoiles au bord du territoire les rendaient bien silencieux. Vengeur était certain que cela y était pour quelque-chose, en plus de l'hiver. Ils tardaient à revenir malgré les matins de moins en moins froids et les journées qui se rallongeaient.

Ce matin-là, le Bêta avait décidé de s'enfoncer un peu plus loin que coutume dans les terres, jusqu'à aller frôler les frontières qu'ils avaient avec la meute occupant le centre de Belle-Obène. Il avait accompagné la patrouille matinale sur un bout de chemin, puis avait décroché de leur itinéraire pour filer droit à travers a lande fleurie. Une fois arrivé au bout, les premiers arbres lui indiquèrent qu'il ne tarderait plus à trouver le territoire ennemi.
Loin de lui était l'idée de franchir la délimitation. Il avait conscience de l'outrage qu'une incursion sans avoir prévenu quiconque sur les terres Nymphes pourrait provoquer de fortes tensions entre les deux clans, d'autant plus que son odeur était connue, puisqu'il se rendait au conseil chaque lune en compagnie des Aphas. Cependant, il voulait s'assurer que leurs propres terres n'avaient pas été rognées par quelques canidés par-derrière tandis qu'on les assommait de météorites par-devant, et constater que le calme régnait bien ici. Une constatation qu'il aurait, quelque-part en lui-même, préféré ne pas faire. Lorsqu'on est dans la panade, il est toujours réconfortant de regarder le voisin et de l'y voir aussi - dans l'hypothèse ou Vengeur pouvait appréhender la notion de réconfort, ou en éprouver le besoin.

Comme il s'y attendait, la forêt était silencieuse de si bon matin. Les sens aiguisés du grand chien blanc ne tardèrent pas à sentir la délimitation, et il obliqua pour longer la frontière. Sur les plages et dans la lande, il était dans son élément. Dans la forêt, tout était bruyant, foncé. Son pelage claire ne pouvait passer inaperçu qu'au prix d'une vigilance extrême, d'un oeil perpétuellement attentif à travers les bosquets. Fort heureusement, il n'était pas venu pour chasser, aussi se fit-il discret mais sans chercher à se cacher non plus. Il était, après tout, dans son plein droit lorsqu'il se trouvait du bon côté de la forêt.

A foulées amples et élastiques, il longea donc la frontière, constatant avec satisfaction que celle-ci ne semblait pas avoir été violée par l'ennemi. Un tracas de moins pour les meneurs, qui en avaient déjà bien assez avec les violences que la nature leur faisait subir. Vengeur allait rebrousser chemin lorsque l'odeur du clan rival se fit plus forte. Il ralentit l'allure, son regard de glace rivé sur le territoire Nymphe. Il s'immobilisa finalement, les oreilles dressées et la queue haute. Autant que ceux qui ne tarderaient plus à passer - ils sentiraient sans doute son odeur comme eux avaient senti la sienne - voient que les Typhons guettaient toujours avec attention chaque parcelle de leur territoire.

La nuit, Voila un élément qui ce montré à présent perturbateur, crées de mauvais rêve au plus jeune comme au plus vieux, qui craigne probablement et surement ce qui pourrais en venir de leur contré, de ce monde, certains lui avias compté que peut étre cela signifier une nouvelle fin, que les chien tel les homme serais à leur tours remplacer, d'autre en revanche, y allez gaiement, peut étre que cela abbatrer un clan et que cela ferias une place de plus et des ennemies en moin, d'autre craigne juste ce que cela donnerais, et d'autre encore les conflit.

Calypso dont la fourrure par ca vitesse de démarches devez faire penser à un spectre blanc si ce n'est un renard blanc ou une flèche élancer courer frôlant le sol et gardant malgré tous la foret dans un certains silence, il lui suffit de dormir, elle avais commencer à reprendre ronde melées à la découverte, un repas bien dans le ventre asse pour tenir la journées quand l'on comme elle était capable de ne boire que peut et manger peut, si elle avais faim ou soif elle serais se débrouiller.

Doucement assistant au lever du soleil ou du moins au depart de ce dernier quelle pu voire entre certaines feuilles asse écarter, c'est un sourire presque doux qui ce dessine sur ces babine, c'est yeux bleu donnant la sensation de luire du'n tintement d'admiration alors que ca queue ne fit que deux ou trois balancement, les oreilles droites et le museau à l'affut, personnes n'approcher des lieux sans quelle ne détecte présence, aussi hostile serait-elle que pacifique.

Doucement, la jeune intrépide frôlant souvent les abord des frontière, avais pour idées après une ronde bien mener de voire ce qui se passer apr dela c'est mur invisible qui ne ce délimité que par l'odeurs, les oiseau et la foret chanter peut, encore trop tots, et au abors des recoin les plus sombre il pouvez parfois régner un silence parfois proche d'une ambiance pesante qu'autre, mais aujourd’hui, ils était simplement discret.

Ebrouhant doucement son pelage elle ralentis alors le rythme pour une démarche calme terminant par emprunté la voie des aire et marcher le long des branche dans une agilité féline déconcertante, les muscle se mouvant pour poser c'est pattes au bon endroit avec une grande dexterité, celle qui ne le paraissez pas mais était apte au cobmat ayant adopté aussi une maitrise d'agilité particulière, les nymphe après tous était connues pour savoir courrure même dans les zone les plus encombrer alors, pourquoi ne pas évoluer tous cela pour doner et avoir des avantage en plus ?

Ce n'était pas la première fois, bien que n'ayant jamais assister au conseil quelle sentis cette odeur, une odeur d'un membre Typhons ? oui probablement, dnas un silence doux, au déclins de bruit de feuillage lorsque certaines branche se plier doucement, ou que sa queue ou oreilles froler les feuilles, elle ce decida à allez voire qui vener curieusement roder tous prés, comment résister à un appelle de curiosité ?

Mais detecter aussi le vent se retourna contre elle, faisant et montrant à l’inconnue qu'un membre de la nymphe était présent, et c'est avec une grande délicatesse que la louve alors vie un chien plus grand quelle et de belle alure, les yeux river ver la foret scrutant celle ci à la recherche de l'odeur qu'était la sienne et qu'il avais sentis.

"Il est asse rare de voire un loup d'autre terre approcher si prés des limites

Dit alors Calypso qui tento se trouva sur une branche un peut plus basse assis devant ce dernier au premmier abord dont elle ne se tarderais à descendre regardant le canin à la blancheur maculer, qui contrairement à elle ne sembler avoir une once d'imperfection dans cette blancheur.

Les yeux bleu de Calypso se rivant doucement dans ceux emraude du canin, les oreilles en avant elle se présenta alors, ca voie n"était ni agressive, ni à la recherche de querelle, peut étre simplement intriguer, mais ravis aussi de voir une tète nouvelle.

"Calypso"