I should be a shooting star w/ Ahora

Aujourd'hui la journée était plutôt calme et c'est bien déroulé dans l'ensemble. Enfin si ont enlève la pseudo dispute avec ma sœur cadette ! Il y a des jours où j'aimerai qu'il lui arrive une colle où que quelqu'un la remette à sa place...Papa lui, l'aurai bien fait certainement, mais en ce moment il n'avait pas le temps de s'occuper de « bêtise » si je pouvais le dire ainsi car il était charger d'entraîner les jeunes guerriers, qui étaient en pleine force de l'âge. Dans mes souvenirs lointain, ses entraînement n'étaient pas de tout repos, et surtout pour l'apprentissage de l'art du combat ! Il voulait faire de moi une guerrière. Ha ! La bonne blague ! Je savais très bien qu'avec mon gabarit et mon caractère, je n'aurais jamais pu être une guerrière ! Être guerrier c'est certes protéger mais c'est aussi tuer, et ça je ne pourrais me le permettre...déjà que quand je tue un poisson je me sens mal, ( même si je prie avant de le manger ) alors si il s'agit de tuer un autre chien ; Or de question ! Je tiens beaucoup trop à la vie en général pour l'enlever à qui que se soit, même à mon pire ennemi je ne lui ôterais ce bien, sinon à quoi bon devenir guérisseuse ? Nous étions tous les mêmes, avec des caractères similaire pour l'un ou complètement opposé pour l'autre, mais j'étais bien consciente que certains étaient cruel pour satisfaire leur envie malsain de voir souffrir les autres.

Enfin, mine de rien, je suis restée cloîtrer dans ma grotte médical toute l'après-midi, le matin étant parti chercher des pins, de la sève, des baies et autre chose pour la conception de mes médicaments. D'ailleurs j'ai eu un patient, c'était l'un des gardes frontaliers qui s'était écorcher la patte. Elijah lui à sûrement dit de venir me voir et par la même occasion lui donner ma position ! En soit je n'étais pas loin de la meute, j'étais à dix minutes de marche tout au plus, dans un endroit tranquille. Je ne sais pas comment il avait fais pour s'écorcher, mais une grosse partit de la peau c'était arraché, je n'ai pas fais mine de lui demander, car il n'avait visiblement pas envie de me le dire de une et ne semblait pas bavard, encore moins que Vengeur ! J'esquissai un doux sourire à cette pensé et essayais du mieux que je le pouvais de ne pas faire hurler mon camarade de meute, avec du jus de citron couper avec de l'eau, que je versais sur la plaie, prenant soin d'éponger ensuite avec une éponge de coton. Une fois chose faite, je mis ensuite du gel d'aloe vera pour aider à la cicatrisation, n'oubliant pas de placé une fine feuille de coton sur la plaie et l'enrouler avec une feuille de plantain qui aide aussi à la cicatrisation. Une fois le patient soigné, celui-ci me salua d'un mouvement de tête et s'en alla comme il était venu ! Mon mentor serait fière de moi si il me voyait maintenant ! J'en avais tellement bavé pour mémoriser toute les plantes et leur bienfaits, et ça en valait la peine, car maintenant je sais comment soigner toute type de blessure.

Rangeant ma grotte, le ciel s'était assombri grandement, car un sifflement me fit sursauter, manquant de me faire lâcher mon gel d'aloe par terre. Je tourna la tête pour voir une autre étoile céleste déchirer le ciel à toute allure, pour aller s'écraser sur la plage. Je rangea mon gel, et sortit de la grotte, pour marcher en direction de la plage, endroit où les pierres avaient décidé de quasiment toute tomber ! Un vent frais passa sur ma fourrure rougeâtre, humant son odeur, je m'approchais après quelques minutes de marche de la plage, pourtant une autre odeur vint chagriner ma truffe. Mon trajectoire ce modifia, et me porta vers...Rubeus, le prince héritier de la meute. Je n'avais jamais osé l'approché jusque là...en même temps qui étais-je pour l'approcher ? Personne. Une simple guérisseuse tout au plus ! Il semblait malgré tout pris dans ses pensées et n'a certainement pas dû faire attention à ma présence, je m'approcha doucement , regardant Notre Mère du coin de l'oeil, avant de m'arrêter à une distance raisonnable du Prince. L'eau venait s'écraser contre les parois rocheuse, et faisais encore et toujours la même schématique. Je posa mes yeux de dragon sur le pelage roux du Prince

« _Je vous souhaite bien le Bonsoir, mon chers Prince. » Accompagnant le geste à la parole, je courba l'échine de la manière la plus noble qu'il soit, comme me l'avais si bien enseigner papa.